Définition :
La gynécomastie correspond à une hyperplasie non tumorale de la glande mammaire. Elle touche généralement les deux seins, mais peut cependant être unitalérale. Ce qui peut paraître paradoxal, surtout lorsqu’une étiologie endocrinienne doit être retenue, s’explique vraisemblablement par des différences de sensibilité des récepteurs présents au niveau du tissu mammaire.
En période néonatale la gynécomastie est fréquente et s’explique par le passage transplacentaire des oestrogènes. Sa survenue possible à la puberté correspond à l’initiation de la stéroïdogenèse. Chez l’homme plus âgé il existe un pic de fréquence entre 50 et 80 ans où les trois quarts de la population sont touchés. L’origine de ces gynécomasties est souvent mixte mais le déficit androgénique est la cause la plus fréquente chez l’homme âgé.
Opération :
Il s’agit de retirer un excédent de graisse ou un excédent de tissue glandulaire. Une échographie montrera la différence entre glande et graisse. L’excès de graisse est aspiré grâce à une liposculpture. L’excès de glande est résolu avec une incision dans le mammelon. La cicatrice du mammelon est pratiquement invisible. La plaie est soigneusement suturée en-dessous de la peau. Cette intervention ne laisse aucune trace visible. L’excédent éventuel de peau ne sera pas éliminé car la peau se retendra d’elle-même. L’anesthésie locale est la plupart du temps suffisante. En tout cas, une narcose classique n’est pas nécessaire. Après l’opération, vous vous sentirez en belle forme. Vous ne ressentirez aucun effet non-désiré d’une narcose classique. Il n’est en général pas nécessaire d’envisager une nuitée à l’hôpital.
Convalescence :
Il faut éviter l'effort physique.
Les drains doivent rester en place une semaine.
Reprendre les activités quotidiennes après une semaine, et trois semaines pour les activités intenses.
Les visites postopératoires sont obligatoires pour aspirer le surplus de liquide lymphatique.
La sensibilité cutanée peut être changer.
Il faut attendre six mois pour que la zone traiter soit guérit.
La gynécomastie correspond à une hyperplasie non tumorale de la glande mammaire. Elle touche généralement les deux seins, mais peut cependant être unitalérale. Ce qui peut paraître paradoxal, surtout lorsqu’une étiologie endocrinienne doit être retenue, s’explique vraisemblablement par des différences de sensibilité des récepteurs présents au niveau du tissu mammaire.
En période néonatale la gynécomastie est fréquente et s’explique par le passage transplacentaire des oestrogènes. Sa survenue possible à la puberté correspond à l’initiation de la stéroïdogenèse. Chez l’homme plus âgé il existe un pic de fréquence entre 50 et 80 ans où les trois quarts de la population sont touchés. L’origine de ces gynécomasties est souvent mixte mais le déficit androgénique est la cause la plus fréquente chez l’homme âgé.
Opération :
Il s’agit de retirer un excédent de graisse ou un excédent de tissue glandulaire. Une échographie montrera la différence entre glande et graisse. L’excès de graisse est aspiré grâce à une liposculpture. L’excès de glande est résolu avec une incision dans le mammelon. La cicatrice du mammelon est pratiquement invisible. La plaie est soigneusement suturée en-dessous de la peau. Cette intervention ne laisse aucune trace visible. L’excédent éventuel de peau ne sera pas éliminé car la peau se retendra d’elle-même. L’anesthésie locale est la plupart du temps suffisante. En tout cas, une narcose classique n’est pas nécessaire. Après l’opération, vous vous sentirez en belle forme. Vous ne ressentirez aucun effet non-désiré d’une narcose classique. Il n’est en général pas nécessaire d’envisager une nuitée à l’hôpital.
Convalescence :
Il faut éviter l'effort physique.
Les drains doivent rester en place une semaine.
Reprendre les activités quotidiennes après une semaine, et trois semaines pour les activités intenses.
Les visites postopératoires sont obligatoires pour aspirer le surplus de liquide lymphatique.
La sensibilité cutanée peut être changer.
Il faut attendre six mois pour que la zone traiter soit guérit.
